Le vidéoprojecteur interactif est la solution économique. Cette technologie implique uniquement l’investissement d’un vidéoprojecteur interactif à courte focale, et nous gardons notre tableau VELEDA sur lequel est projetée l’image du PC. C’est le projecteur qui localise le stylet, aucune action avec le(s) doigt(s).
Le vidéoprojecteur interactif tactile est la solution assez récente qui commence à prendre place. Cette technologie implique comme la précédente, uniquement l’investissement d’un vidéoprojecteur interactif à courte focale, et nous gardons notre tableau VELEDA sur lequel est projetée l’image du PC. C’est le projecteur qui localise le stylet, ou les doigts allant jusqu'à 10 points de contacts, soit dix doigts ou plusieurs personnes.
Le tableau interactif est la solution la plus répandue. Cette technologie implique un tableau interactif et un projecteur standard à courte focale. Ici, c'est le stylet ou le(s) doigt(s) qui servent de souris.
L'écran interactif est la solution de luxe. Cette technologie consiste en un grand écran de télévision tactile. Par conséquent, plus besoin de vidéoprojecteur. Là encore, c'est l'écran qui localise le stylet ou le(s) doigt(s) et qui sert de souris. Cette technologie a un affichage LED , soit d'une qualité supérieure à un TBI, mais coûte encore chère.
Le PC standard est la solution la plus répandue. Ce choix nécessite une salle informatique dans laquelle tous les PCs sont installés et où les élèves se déplacent pour les utiliser.
Coût avec écran 300 €HT
Le portable ou hybride est la solution mobile. Depuis que les portables sont devenus abordables, cette solution prend de l'ampleur pour son côté mobile. Pas besoin de salle informatique, mais un meuble de stockage dans lequel les élèves rangent les portables et les mettent en charge. Cela demande une gestion un peu plus rigoureuse que les PCs.
Coût 300 €HT.
La tablette est la solution à la mode. Le clavier a été inventé en 1868 pour les premières machines à écrire et représente une des techniques les plus compliquées pour écrire. Mais il a été démontré qu'un ordinateur sans clavier devient un objet passif. En général, la tablette est censée remplacer les livres et réduire les coûts. Mais, à aujourd'hui, ces livres n'ont pas encore été mis en forme pour le support numérique et désorganisent d'avantage l'enfant, surtout en 6ème ou ce dernier doit déjà s'adapter à de nombreuses nouveautés.
Coût 200 €HT
La protection par un proxy qui s’appelle plus aujourd’hui un firewall qu’une vraie protection parentale.
Cette méthode utilise une liste des sites ayant un contenu malveillant ou pornographique qui est généralement stockée soit :
Dans un ordinateur qui sert de proxy avec des logiciels dont le plus connu dans l’Education Nationale est AMONEOLE.
Ou directement dans un routeur.
Cette méthode a deux inconvénients.
Il faut acheter du matériel et le maintenir.
Elle ne gère pas la norme PEGI européenne.
Le coût est celui d’un PC ou d’un routeur qui gère les blacks listes plus sa maintenance soit 500 €HT minimum pour trois ans.
La protection parentale Windows
Depuis Windows 7, Windows propose une protection parentale gratuite. Cette protection protège des sites malveillants ou pornographiques et gère la norme PEGI. Cela veut dire que même si vous avez installé des contenus sur le PC tels des films, des jeux ou des applications, suivant l’âge de l’élève qui se connecte, ce dernier pourra ou ne pourra pas accéder à ces contenus. Contrairement à une protection par proxy locale, la protection Windows est toujours active lors d'un déplacement extérieur des élèves avec les portable ou les tablettes.
Coût 0 €HT.
Il est démontré qu'il n'y a quasiment plus de création dans le monde de l'informatique depuis 20 ans. Ceci signifie que ce sont les générations qui ont utilisé l'informatique dès leur enfance qui s'en servent, non comme un outil de développement, mais comme un outil tout simplement. Certains voudraient que les rudiments de la programmation soient appris à l'école comme une technologie parmi les autres.
Dans tous les cas, l'éducation se cherche dans le domaine de l'informatique, ce qui rend les investissements délicats.
Il y a trente ans, un logiciel avait été développé pour les écoles par l’Education Nationale qui s’appelait ‘VULGARISATION DE L’INFORMATIQUE’. A aujourd’hui il semblerait que nous en soyons toujours à ce stade. L’informatique étant considérée comme un simple outil de support de contenu, il n'y a aucun intérêt à investir dans des matériels chers et sophistiqués.